Le conseil municipal du 18 septembre fût rendu particulièrement intéressant par la présentation de l'activité du CCAS jusqu'en 2008, une première ; on y apprit que jusqu'à la mi-2008 la situation s'améliorait ; au bout de 5 ans, moins du 1/4 des ménages ayant nécessité une intervention en sont encore dépendants !
Mais personne, en dehors des présents, ne le saura : la presse, tant Ouest france que Presse-Océan, n'en a pas parlé !
Pas plus qu'elle n'a parlé d'ailleurs des interventions de C. Cotta, président du groupe socialiste, de JL Garnier et du maire sur ce sujet!
samedi 26 septembre 2009
Réalite du réchauffement climatique
Des résultats à pondérer selon Vincent Courtillot, professeur de géophysique à l'université de Paris-Diderot, dont les récentes recherches ont été dévoilées lors de ces 2es Journées Scientifiques de l'Université de Nantes.
Le même à Strasbourg plus long mais plus détaillé
http://canalc2.u-strasbg.fr/video.asp?idvideo=8895
voir aussi http://www.rue89.com/2009/09/27/le-dereglement-climatique-credo-de-lhumanite-doccident
vendredi 18 septembre 2009
Changement climatique : des politiques fondées sur de la pseudoscience
Mais surtout, sur le plan scientifique, de nouveaux témoignages viennent décrédibiliser encore plus les théories selon lesquelles l’effet de serre et les activités humaines auraient une influence prépondérante et catastrophique sur la température de la Terre.
Les lois de la nature contre la pseudoscience.
Que d’événements sur le front du changement climatique pendant cet été 2009 ! Commençons par faire le point de certaines connaissances scientifiques. Les dernières nouvelles achèvent de faire voler en éclat le dogme du réchauffement lié à l’effet de serre et aux comportements humains.
la suite sur
http://blog.turgot.org/index.php?post/Belouve2
lundi 14 septembre 2009
Carene concertation et projet STRAN 2012
dimanche 13 septembre 2009
Cette pensée unique qui s'impose aux gens
L'emprise dont nous devons sortir n'est pas celle de certains objets, mais celle d'une pensée unique, la pensée unique de la technoscience, de l'administration, des "institutions de vérités". Un ordre du discours organise la soumission symbolique aux savoirs, aux savoirs institutionnels. Cette soumission instaure un pouvoir, un véritable règne des savoirs […].
Nous croyons vivre dans un monde de savoirs dont les dispositifs techniques sont les heureuses "retombées". Mais en prenant l'avion, en allant chez le médecin ou en cours de math, en lisant un article d'économie… nous ne sommes pas dans un monde de savoirs, car nous ne disposons pas des savoirs mis en œuvre. Ce sont eux qui disposent de nous. Notre mode de relation usuel au savoir n'est pas la connaissance, la maîtrise de ce savoir, mais la soumission à un savoir qui nous est livré. D'où l'affairement et la dépendance, qui sont les contraires exactes de la sérénité et de la sagesse.
Dans le global et dans l'abstrait, nous imaginons disposer de savoirs nombreux et de leurs conséquences. Dans le local et le concret, le soi de chaque individu est soumis à des savoirs qu'il ne possède pas. La sagesse passe par une réappropriation de ces savoirs, une autre relation au savoir que la relation de soumission. Cette réappropriation remet en question le régime d'une vérité livrée, que la science a subrepticement empruntée aux religions révélées.
On ne peut que se soumettre à une vérité révélée, cette logique brutale a mené la civilisation occidentale au bord de sa perte, une fois déjà, entre la fin du monde antique et la renaissance.
samedi 12 septembre 2009
La taxe carbone : Un impôt comme les autres
Philippe Herlin
© La dette de la France .fr
mercredi 9 septembre 2009
Karzay, Bongo, Aubry même combat !
mardi 8 septembre 2009
La taxe carbone, nouvelle pensée unique ?
La controverse agite la gauche, les Verts et la famille socialiste française. Certains opposants se demandent si cette taxe carbone n'est pas le ferment d'une nouvelle pensée unique. Non pas qu'il faille remettre en cause la nécessité de la lutte contre les gaz à effet de serre et les changements climatiques.
Au contraire. Mais, à défaut de puissants correctifs dont les mécanismes sont aléatoires pour aider les revenus modestes et moyens (comme le souhaite Michel Rocard), cette taxe pénaliserait les milieux populaires, et l'injustice sociale, que craignent les socialistes, serait criante. De quoi pénaliser surtout les usagers captifs de leur véhicule, soit parce qu'ils habitent loin de leur lieu de travail, soit parce qu'il n'y a pas toujours de transports en commun, notamment en zone rurale.
Seraient pénalisés également les habitants de logements mal isolés et n'ayant pas les moyens d'investir dans de nouveaux chauffages (malgré les aides publiques, pompes à chaleur, panneaux solaires et autres chauffages non polluants se vendent à prix prohibitifs...). Mais cette réticence sociale, qualifiée de "démagogique" par les Verts, n'est pas le seul argument contre la taxe carbone : il y a aussi le constat d'une sorte de vice de forme intellectuel.
La justification écologique de la taxe, c'est la nécessité de pénaliser les usagers et consommateurs pour les inciter à cesser de polluer ! On veut, dit-on, "changer les comportements". Certains responsables, de droite comme de gauche, répètent qu'on peut toujours se déplacer à vélo ou à pied au lieu de prendre sa voiture ! Le principe, admis comme une évidence, c'est que l'usage de la voiture pour se rendre au travail, faire des courses, voyager, ou que se chauffer, au gaz par exemple, etc., sont constitutifs d'un "délit " de pollution... qu'il faut à tout prix pénaliser financièrement. Cette pénalisation financière est censée culpabiliser, dissuader et modifier le comportement du consommateur... Ne pas admettre cette logique était, jusqu'à ces derniers jours, médiatiquement "inaudible".
Mais réfléchissons un instant : "changer les comportements", donc orienter les consommateurs vers un autre choix de consommation, suppose une alternative. L'exemple de l'interdiction de vente des lampes à incandescence dans l'Union européenne est intéressant : des ampoules non polluantes sont désormais en vente. Leur prix est plus élevé, certes, mais l'alternative existe. Quel est le choix alternatif en matière de carburants polluants ? Sauf à ressortir les diligences, refuser de se rendre au travail, renoncer à faire ses courses au supermarché ou considérer les déplacements comme illégitimes (ce qui serait une régression de civilisation), le citoyen, éloigné des transports en commun, peut-il choisir entre véhicules à carburants fossiles et véhicules propres (électriques, piles à combustibles, hydrogène, etc.) ?
La réponse est "non". Est-ce la faute des usagers si ce genre de voiture n'existe aujourd'hui qu'à l'état de prototype ou de projet, dans les cartons des laboratoires ? Qui n'a pas investi massivement dans ce secteur de pointe ? Qui est à la traîne en matière de voiture électrique ? Réponse : pas les consommateurs, mais les constructeurs, l'industrie automobile... Le manque d'investissement dans l'alternative énergétique n'est-il pas, en partie, à l'origine de la crise mondiale de l'automobile ?
Les consommateurs et usagers n'ont pas le moyen d'exercer de choix : ils sont même plutôt victimes de la situation. La taxe carbone serait une sorte de double peine appliquée aux consommateurs, derniers maillons, en bout de chaîne du processus industriel, alors que c'est ce processus-là qui est en cause ! Aberrant, non ?
Ne serait-il pas écologiquement plus logique et plus urgent de réorienter le processus industriel afin de produire des alternatives non polluantes en matière automobile et de logements plutôt que de s'acharner sur des usagers captifs de modes de locomotion et de chauffage polluants ?
voir aussi :
07 Sept 2009 : Enfin ! : Plusieurs éclairs de lucidité et un peu d'humilité dans les certitudes du GIEC !
samedi 5 septembre 2009
Emission par Habitant de CO²
LIST OF COUNTRIES RANKED BY 2006 TOTAL CO2 EMISSIONS FROM FOSSIL-FUEL
DATA : Marland, G., T.A. Boden, and R. J. Andres. 2008. Global, Regional, and National CO2 Emissions.
In Trends: A Compendium of Data on Global Change. Carbon Dioxide Information Analysis Center
Oak Ridge National Laboratory, U.S. Department of Energy, Oak Ridge, Tenn., U.S.A.
http://cdiac.ornl.gov/trends/emis/overview.html
(UNIT : Tons of CO2 per capita)
COUNTRY TONS OF CO2 PER CAPITA
Qatar 49.26
Kuwait 34.22
United-Arab-Emirates 32.94
Bahrain 28.62
Luxembourg 23.89
USA 18.95
Australia 17.93
Canada 16.65
Oman 16.03
Saudi-Arabia 16.03
Estonia 13.02
Finland 12.62
Kazakhstan 12.62
Singapore 12.51
Taiwan 11.93
Czech-Republic 11.16
Russia 10.94
Ireland 10.32
Netherlands 10.28
Japan 10.24
Belgium 10.17
Greenland 9.99
Israel 9.99
Denmark 9.91
South-Korea 9.8
Germany 9.77
Nor-ssb 9.59
United-Kingdom 9.04
South-Africa 8.74
Austria 8.67
Greece 8.63
Norway 8.6
Libya 8.27
Spain 7.97
Italy 7.72
New-Zealand 7.28
Iceland 7.24
Bosnia 7.13
Belarus 7.06
Malaysia 7.02
Slovakia 6.91
Ukraine 6.8
Iran 6.62
Venezuela 6.33
Bulgaria 6.22
France 6.18
Hungary 5.7
Portugal 5.67
Sweden 5.59
Switzerland 5.56
Croatia 5.3
Macedonia 5.3
China 4.64
Romania 4.53
Argentina 4.42
Uzbekistan 4.28
Lithuania 4.17
Thailand 4.17
Azerbaijan 4.13
Mexico 4.13
Lebanon 3.76
Jordan 3.69
Turkey 3.69
Chile 3.66
Mongolia 3.66
Syria 3.66
North-Korea 3.58
Latvia 3.25
Iraq 3.22
Botswana 2.78
Belize 2.67
Cuba 2.63
Egypt 2.26
Tunisia 2.26
Moldova 2.19
Uruguay 2.04
Brazil 1.86
Indonesia 1.5
Morocco 1.5
Namibia 1.39
Peru 1.39
Armenia 1.35
Columbia 1.35
India 1.35
Georgia 1.24
Vietnam 1.24
Bolivia 1.17
Kyrgyzstan 1.06
Yemen 1.02
Honduras 0.98
Guatemala 0.91
Pakistan 0.91
Angola 0.87
Swaziland 0.87
Western-Sahara 0.87
Zimbabwe 0.84
Palestine 0.76
Polen 0.76
Phillippines 0.76
Nigeria 0.69
Paraguay 0.65
Bhutan 0.58
Sri-Lanka 0.58
Congo 0.4
Ghana 0.4
Senegal 0.4
Benin 0.36
Kenya 0.32
Bangladesh 0.29
Cambodia 0.29
Sudan 0.29
Laos 0.25
Liberia 0.21
Zambia 0.21
Cameroon 0.18
Madagascar 0.14
Tanganyika 0.14
Tanzania 0.14
Eritrea 0.1
Mozambique 0.1
Nepal 0.1
Burkina-Faso 0.07
Ethiopia 0.07
Faroe-Islands 0.07
Rwanda 0.07
Burundi 0.03
Chad 0.03
Mali 0.03
mercredi 2 septembre 2009
Clore la discussion ? Trahir la démocratie, la raison, la science !
Comme Lyssenko et les militants soviétiques de la biologie de classe, les adeptes de l'origine humaine du réchauffement imposent la politique dans le processus scientifique.
Or ce rôle des activités humaines est minimisé par les scientifiques qui observent les phénomènes naturels. L'indice prévu par les modèles du GIEC dans l'atmosphère tropicale n'a pas été observé !
Si tous les signataires du protocole de Kyoto adoptaient des Grenelles de l'environnement, la réduction du réchauffement serait inférieure à un degré centigrade d'ici la fin du siècle, selon les réchauffistes eux-mêmes.
Dans une démocratie il est raisonnable et nécessaire de critiquer l'investissement de capitaux considérables dans des politiques inefficaces.
Il faut rappeler aux obsédés de la décroissance qu'avant l'ère industrielle, la rareté et le cout élevé de l'énergie était une cause essentielle de la misère du peuple.
Un impôt sur la production de Co² pèsera sur les plus modestes, les plus contraints qui n'ont pas les moyens d'investir pour en éviter l'utilisation .
La création de droits à émettre du Co² par l'industrie développera une spéculation nouvelle. Après les Subprimes, nous verrons l'éclatement de la bulle verte !
Texte de notre edito dans le bulletin municipal à paraitre en septembre remis le 13/08